Être utile aux aidants

La Caisse d’Epargne et son Agence Altmann+Pacreau lancent une nouvelle campagne, à destination des aidants.

La Caisse d’Epargne reprend la parole en TV et continue de s’engager pour être toujours plus utile aux familles. Une nouvelle preuve de son utilité qui s’incarne dans ce troisième volet de son nouveau territoire de marque autour d’un sujet qui fait écho aux enjeux de la dépendance.

Avec cette nouvelle campagne, la Caisse d’Epargne, banque et assurance de la famille, continue d’apporter des preuves concrètes de son engagement et de sa volonté d’être encore plus utile à la société.

Aujourd’hui en France, 15 millions de personnes aident un proche, soit 29 % des Français de plus de 15 ans. À cela s’ajoutent 9 % de « soutiens occasionnels », c’est-à-dire s’occupant d’un proche moins de trois heures ou moins d’une fois par semaine, et 19 % d’anciens aidants. Au total, 57 % des Français aident ou ont aidé un proche à des degrés divers. (source : BPCE L'Observatoire, Le temps des aidants, avril 2021)

En tant que banque et assurance engagée, la Caisse d’Epargne souhaite accompagner toutes les familles concernées face à ce phénomène qui ne cesse de s’amplifier. Pour leur être utile, elle propose, dans le cadre de son assurance santé, des solutions d’aide à domicile pour prendre le relais des aidants en cas problème de santé ne leur permettant plus de s’occuper de leurs proches.

Ce 3ème opus du nouveau territoire de marque de la Caisse d’Epargne dévoile une mise en image émouvante, révélatrice d’un sujet sociétal majeur. Des images portées par la musique de marque trans-générationnelle et fédératrice : Everybody wants to rule the world du groupe Tears for Fear – réorchestrée par le groupe Joseph.

Dès le 31 octobre, un film TV 30’’réalisé par le duo de réalisateurs Américain Will Hoffman et Julius Metoyer mettra en image le quotidien souvent intense de ces aidants et la solution qu’apporte la Caisse d’Epargne pour les soutenir en cas de besoin.

Le film sera accompagné d’une campagne d’affichage à travers l’œil de Sandra Mehl, photographe qui a signé les premiers volets de ce nouveau territoire.